Monopoli ou encore ''ville unique'' selon l'origine grecque du mot

Une superbe randonnée le long du littoral adriatique. 

Un arrêt apprécié à Monopoli, une belle découverte pour nous. 

Nous avons découvert un joli centre historique médiéval, 

caractérisé par de nombreuses églises et monastères, 

ainsi qu'un port de pêche vraiment pittoresque.

Alberobello; un exemple d'architecture spontanée

Un autre arrêt quasi obligé, c’est à Alberobello avec ses ‘’trulli’’.  On y retrouve près de 1500 petites maisons faites de pierres sans mortier avec un toit en forme de cône. Plusieurs quartiers de la ville sont classés au patrimoine mondial de l’Unesco.

Selon la légende, ces habitations en pierres sèches pouvaient être facilement démontées en cas d’inspection royale, ce qui permettait d’éviter de payer les impôts.

Même les églises ont leur toit en forme de cônes de pierres sèches

Encore une fois, on tombe sous le charme des trulli qui sont un exemple unique de construction ancienne, ayant survécu au temps et encore utilisée de nos jours. 

Pour la postérité...

Plus tard dans la journée avec nos amis, Muriel et Patrice.

Ostini, aussi désigné la "ville blanche "

On prend plaisir à parcourir la région autour d’Alberobello. 

On y découvre de véritables routes pour cyclistes, 

moins larges que nos pistes cyclables ontariennes.

Ostuni était la destination, 

en voici également quelques photos.

Matera; un décor quasi biblique

À mi-chemin entre la Calabre et les Pouilles, on retrouve avec plaisir la très célèbre ville et ses habitats troglodytiques appelés ‘’sassi’’. Un véritable petit bijou classé sur la liste du Patrimoine de l’humanité établie par l’Unesco.

Autrefois une ville obscure et laborieuse, façonnée dans la roche et la misère, elle offre aujourd’hui une tout autre vision : un chaos grandiose de maisons et d’églises rupestres perdues dans un lacis de ruelles creusées à flanc de ravin.

Le dédale de ‘’sassi’’ a inspiré de nombreux réalisateurs dont Mel Gibson qui y réalise ‘’La Passion du Christ’’. (2003)  Imaginez cette ville par un temps d'orage... Le réalisme est assuré.

Nos amis, Muriel et Patrice, devant les premières habitations paléolithiques

La Calabre, région renommée pour ses agrumes

La région de Calabre est la pointe de la botte, 

l’extrémité sud de l’Italie, 

baignée par les eaux 

des mers Ionienne et Tyrrhénienne.

Nous avons aimé les côtes rocheuses alternant aux littoraux sableux (plus de 800 km de côtes), les magnifiques couleurs cristallines de la mer ainsi que les saveurs intenses de la cuisine locale.

Superbe plage à côté de notre maisonnette sur roulettes

Belle randonnée à Tropea, « la perle de la côte tyrrhénienne »

Par contre, nous avons moins aimé l’aspect délabré de plusieurs de ses villages, les déchets amoncelés le long des routes.  Nous avons aussi noté l’attitude très cavalière des employés dans les points de service; cette remarque n’est cependant pas vraie pour les propriétaires d’entreprise.

Léger détour par le site archéologique de Paestum

Fondée par les Grecs six siècles avant notre ère sous le nom de Poseidonia, cette cité aurait été abandonnée par ses habitants à la fin de l’Antiquité à cause de la malaria.

On prend plaisir à revoir les trois majestueux temples, ces œuvres  de grandes civilisations du passé qui sont aujourd’hui classées patrimoine de l’Unesco. 

La célèbre côte amalfitaine

Sorrento, Positano, Almalfi… 

nous revisitons ces destinations presqu’incontournables. 

Pour une journée, nous troquons le vélo pour le bateau, 

ce qui nous permet d’admirer ces villages perchés d’un autre point de vue.

Sorrento

Positano

Amalfi

Et la minuscule grotte Esmeralda

Sous le thème des volcans…

Le cratère du Sulfatara… 

Nous y posons notre maisonnette sur roues 

pour un séjour de cinq jours dans la baie de Naples.  

En voici un aperçu.

 

Notre  campement est à la gauche de la piscine...

Devant des fumerolles...

Remarquez l'habileté du conducteur pour accéder à ce camping...

On visite aussi le site d’Herculanum qui, tout comme Pompéi, fut enseveli lors de l’éruption du  Vésuve en l’an 79 après JC.  Ayant des vestiges très évocateurs, c’est, semble-t-il, la mieux préservée de toutes les citées antiques ayant été touchées.  Moins d’un quart de la cité ayant été retiré de la cendre, la majorité des monuments publics et religieux sont toujours recouverts par la ville moderne que l'on aperçoit au loin.

Céramique datant de presque 2000 ans... Étonnant, n'est-ce pas?

Malgré le groupe de cadavres retrouvés sur la plage,il semblerait que le cataclysme ne fût pas si meurtrier qu’à Pompéi.

Comme nous avions déjà vu Capri, 

on parcourt donc en vélo l’île d’Ischia, 

reconnue pour ses thermes.  

Nous croisons de magnifiques villages.

On est toujours étonnés du type de route... Pierre vérifie le GPS deux fois...